Climage

«Un chef d’œuvre d’une humanité rare.»

Thierry Jobin, Le Temps


«J’ai été très impressionnée par ce film, à la fois intéressant et émouvant. Il montre la réalité telle qu’elle est, avec ses drames qui touchent tant d’innocents dans le monde actuel. Ce n’est pas un film de propagande, et j’ai été frappée par la qualité de sa réalisation.»

Propos de la Conseillère fédérale Evelyn Widmer-Schlumpf,
recueillis par Jean-Louis Kuffer, 24 heures


«La Forteresse est un film indispensable. Malgré la gravité de son propos, le film est d’une justesse jubilatoire, preuve éclatante que l’engagement n’exclut pas la lucidité, et qu’il peut s’affranchir du dogmatisme. C’est du reste ce qu’il y a de plus fort: le réalisateur ne nous dit pas ce qu’il faut penser, il nous donne à réfléchir.»

Thierry Meyer, 24 Heures


«C’est un jury international qui a primé La Forteresse. Et ça signifie que ce film qui parle d’un sujet qui nous est proche, le problème de l’immigration en Suisse, dans une forteresse à Vallorbe, peut au final parler au monde entier.»

Frédéric Maire, directeur du Festival de Locarno


«On a souvent abordé la question de l’asile dans des documentaires. Mais ce film se place nettement au-dessus de tout ce qui a été dit en Suisse ces vingt dernières années. Car il ne se pose pas la question des lois trop restrictives ou pas assez, des vrais ou des faux requérants. Ce film montre simplement des scènes de vie, des scènes du quotidien. Il montre des drames mais aussi des moments heureux et insolites.»

Philippa de Roten, TSR 19:30


«La Forteresse n’est pas juste un document poignant : c’est une véritable œuvre d’art. L’humanité du propos s’accompagne d’une très grande qualité de l’image. Rien n’est plus sinistre que le centre de Vallorbe, pourtant la caméra réussit à saisir les lumières les plus ténues, à exprimer les vibrations de l’acier et du béton. Film bouleversant, La Forteresse a la noblesse de montrer l’humanité des fonctionnaires et des requérants.»

Antoine Duplan, L’Hebdo


«Dans ce grand tri d’êtres humains, le spectateur récolte des pépites d’humanité. Entre les murs atones, les cliquetis des serrures, une liste des gens que l’on transfert, et l’inaction qui rend fou, des drames intimes filmés sobrement.»

Florianne Borney, RSR La Première


«Une œuvre forte et incroyable. […] Séquences déchirantes de vérité, drames humains qui se nouent sans se dénouer sous nos yeux, moments uniques où la caméra semble se faire oublier: il y a quelque chose de Depardon dans le cinéma de Fernand Melgar. Sauf qu’il pousse la réflexion plus loin, qu’il donne à voir sans juger, avec une objectivité que l’enchaînement de ses plans ne vient jamais infléchir. […] Fernand Melgar se révèle tout bonnement l’un des meilleurs documentaristes helvètes actuels.»

Pascal Gavillet, Tribune de Genève


«Le spectateur ne peut se défiler, tourmenté par des questions qui résonnent en lui, volontairement laissées ouvertes par le film. Dans l’art d’illustrer et d’interroger l’actualité politique, le cinéma ne peut demander mieux.»

Martin Walder, NZZ am Sonntag


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